Beaucoup de nos clients disent redécouvrir voire même découvrir le goût de la viande.
L’attention portée à nos animaux, le souci permanent de leur bien-être, la qualité de l’alimentation, l’absence de stress, ainsi que le temps très long que nous prenons pour l’engraissement donne à la viande de la Maison Delamarre un goût exceptionnel.
Une alimentation de qualité, et en quantité
L’alimentation de nos vaches est 100% bio, 100% produite sur l’exploitation.
Les animaux sont au pré les deux tiers de l’année (pré n’ayant pas subi d’épandage d’engrais chimique), puis à la ferme durant l’hiver. Les vaches sont alors nourries au foin de pré non traité, au foin de luzerne bio, ainsi qu’aux céréales bio, le tout, produit à la ferme.
A la différence d’autres élevages, notamment les élevages non biologiques, nos animaux ne sont nourris ni au soja (essentiellement en provenance d’Amérique et souvent OGM), ni au maïs ensilage, ni à la pulpe de betterave déshydratée (aliment bon marché et nourrissant, mais engendrant des problèmes de santé pour les animaux et apportant de l’acidité à la viande).
En plus de bénéficier d’une alimentation de qualité, les bêtes sont nourries avec la quantité optimale de nourriture dont elles ont besoin, en fonction de leur stade de développement, âge, veaux à allaiter ou non…
En cas de sécheresse et de manque d’herbe dans les prés, nous leur apportons à toutes du fourrage alors même qu’elles sont aux prés.
A La Maison Delamarre, les animaux sont nourris en qualité et en quantité tout au long de leur vie, point indispensable pour l’obtention d’une très bonne viande.
Le bien-être de nos animaux avant tout
- Une attention permanente aux besoins des animaux
Tous nos animaux naissent à la ferme. Et dès leur naissance nous portons une attention très importante à leurs besoins. Que ce soit des difficultés à boire le lait de sa mère pour le petit veau, aux maladies éventuelles pouvant survenir par la suite, nous sommes en permanence à l’écoute de nos vaches.
- Au pré dès que le temps le permet
A La Maison Delamarre, durant la majeure partie de l’année, nos vaches sont là où elles aiment être : au pré ! Elles ne rentrent à l’étable que pour se protéger du froid et de l’humidité de l’hiver.
- Un stress réduit au maximum
La solitude étant source d’anxiété pour une vache, que ce soit à la ferme ou au pré, les vaches et les veaux ne sont jamais seuls.
- Un sevrage tardif
Le sevrage (séparation du veau et de sa mère) est un moment important de la vie de l’animal et particulièrement anxiogène.
La réglementation pour les élevages biologiques (décrit ici), impose un sevrage au minimum 3 mois après la naissance. Ces 3 mois sont déjà bien plus que ce que l’on observe dans les élevages non bio, en particulier les élevages laitiers.
Mais, afin de réduire au maximum le stress et les impacts négatifs que cela peut engendrer, il n’est pas rare qu’à La Maison Delamarre les veaux restent avec leurs mères jusqu’à 10 mois ! En plus d’être tardive, la séparation à lieu en douceur, la vache et le jeune bovin se retrouvant dans des enclos voisins. Le jeune n’est alors pas impacté par cette étape.
Un engraissement long : nous prenons le temps
Comme souvent, le temps est gage de qualité. Le temps que nous prenons pour l’engraissement des animaux permet l’obtention d’une viande parfaitement grasse, ni trop, ni trop peu. C’est ce gras intramusculaire, le persillé, qui donne à notre viande ce goût exceptionnel.
Une fin de vie sans stress ni souffrance
Nous travaillons avec un abattoir au nord de Beauvais, à une heure de la ferme.
Nous amenons nous-même les bêtes le matin même. Pas de longs transports dans de mauvaises conditions, pas de nuit passée dans un environnement étranger (deux points facteur de stress). A La Maison Delamarre, nous garantissons un abattage EXCLUSIVEMENT AVEC ÉTOURDISSEMENT, sans souffrance. Nous ne répondrons jamais favorablement aux demandes d’abattage rituel halal.
Tout est mis en œuvre pour garantir une bonne vie à nos animaux, nous mettons donc un point d’honneur à ce que la fin de vie soit sans stress et sans souffrance.